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    Cap sur Cap CanaCap sur Cap Cana

    Nous sommes partis au milieu de la nuit du 14 janvier de Bayahibe pour Punta Cana. Nous allons y attendre la maman de Patricia, prévue le 17 janvier. Sur ce bout de côte à l’Est du pays, s’alignent 50 Resorts et Hôtels. S’y trouve aussi le complexe Cap Cana : une marina et un ensemble d’appartements et hôtels, bordant une belle plage de sable blanc. Punta Cana est le long de l'Océan Atlantique et donc synonyme de houle et de vent soutenu. Cette cote ne nous autorise aucun mouillage intermédiaire. La navigation sera donc d'une seule traite comme une traversée, malgré le fait que nous soyons au plus prés de la cote. L’arrivée a été sportive. En effet  les 2 chenaux que nous devons absolument utiliser, si nous ne voulons pas nous échouer sur les récifs sont tous deux face à la marina. Lequel choisir des deux? La houle est entrante. Nous prenons alors celui de droite qui nous apparait être le mieux balisé, mais nous nous trompons ! Notre choix nous dirige vers un hôtel! Impossible de reculer. Avant la derniere bouée nous coupons alors vers le deuxième chenal. L’alarme nous indiquant la hauteur d’eau sous le bateau s’affole, sonne, plus que 1,30 m de hauteur d'eau (10cm sous les quillons) au creux de la vague !!!!  La vague suivante viens nous liberer et nous remonte à plus de 2m pour littéralement surfer dessus et enfin se rabattre dans le bon chenal : ouf, sauvés !!!! 

     Cap sur Cap Cana  Cap sur Cap Cana  Cap sur Cap Cana

    Cap Cana ne se présente pas comme Casa de Campo. Ce sont des touristes et non des milliardaires qui circulent ici. Par contre, nous sommes hors saison, et c’est assez désertique. La plage est à 200 m de notre emplacement. Il y a aussi 4 magnifiques piscines et 3 jaccuzis…brefs nous en profitons un maximum avant d' apprendre le dernier jour que nous n'y avions pas accès... Les cours du CNED du matin semblent donc bien plus longs que d’habitude ! Nous récupérons comme prévu ma maman le 17 janvier, la laissons souffler une journée pour s'acclimater et décidons de lever l’ancre samedi 19, direction la magnifique baie de Samana, au Nord Ouest de la République Dominicaine.

    Cap sur Cap Cana


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    Nous avons quitté la Marina de Casa de Campo et ses milliardaires le lundi 7 janvier, pour mouiller à quelques miles vers l'est à Bayahibé, pour une semaine. C’est un charmant petit village de pêcheurs, qui à 10h et 16h se transforme en immense quai d’embarcation. En effet, des hordes de touristes, 1000 à 2000 par jour, arrivent des différent hôtels de Punta Cana, viennent ici  pour se rendreà Palmillas, Catalina ou Isla Saona. Leurs embarcations sont d’anciens maxi-catamarans de courses transoéaniques (Kriter, Royal…) qui finissent ici leur vie. A leur bord, les touristes trouvent rhum et batchata à volonté et c’est assez amusant de les retouver à la nuit tombée, écrevisses rouges dansantes et chantantes dans les cockpits.  La semaine passe vite : l’alternateur est enfin réparé, les cours du CNED ont repris, la mise à jour du blog, le grattage des coques recouvertes d’algues vertes après le séjour prolongé dans la Marina… 


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  • Rep-Dom, making off

    Les enfants, maître et maîtresse ont bien profité de leurs vacances de Noël…Pas de CNED pendant 15 jours..

    Nous avons passé un très agréable séjour à Cabarete et du coup, avons prolongé de 3 nuits supplémentaires dans un hôtel à 66 dollars pour nous 5, breaksfasts fabuleux compris : on ne pouvait pas faire autrement. Nous avons retrouvé avec joie le confort des lits ‘kings size’, d’avoir de l’eau chaude à volonté, des draps propres tous les jours…JL a pu faire du Kyte Surf et nous avons passé le réveillon du nouvel an les pieds dans le sable dans le bar-resto-cours de kyte "Le Front Loop" tenu par un couple franco-suisse adorable. Pas de  bulles ni mérengué, mais des mojitos, des feux d’artifices et de la danse pop.  Les enfants ont adoré les vagues,nous étions côté atlantique, où la mer est identique à celle des Landes, avec quelques degrés en plus ! Niveau température, nous avons ressorti polaires et jeans, les soirées étant bien plus fraîches qu’au Venezuela. L’avantage, c’est que les moustiques ne s’invitent plus ! Nous sommes surement en train de devenir frileux… Notre prochain hiver en France risque d'être rude !

    Rep-Dom, making off

    Nous avons aussi accueilli nos amis français de St Domingue deux nuits le temps d’une navigation à Palmillas, et ainsi que la famille de Coco et Yves, les français rencontrés ici. Nous avons profité de la voiture pour visiter la partie coloniale de la ville de St Domingue. La maison de Diégo Colomb, le fils de Christophe, est remarquable avec son mobilier d'époque.

    Pour notre gros avitaillement, nous avons pu bénéficier de l'implantation de Carrefour dans la banlieue de Santo Domingo. Comme des abeilles autour d’un pot de miel nous avons redécouvert des produits de chez nous comme du bon pâté, du saucisson, du camenbert et du pain. Puis nous sommes allé rendre visite à Francis et Marie-Pierre à l'Elyzée, leur très belle pâtisserie-traiteur. Les babas aux rhums sont à tomber par terre et les éclairs aux chocolat sont tout simplement les meilleurs de l'ile.

     

    Comme il se doit, nous avons tiré les Rois, avec une galette faite ‘bateau’ (frangipane avec la poudre d’amandes achetée en Martinique, pâte feuilletée confectionnée par les enfants, fèves et couronnes offertes par Francis et Marie)… Nous avons invité la famille belge du bateau Capella à la partager avec nous : miam...,

    Notre alternateur est maintenant réparé "façon locale". Le manque de pièce de rechange oblige les réparateurs locaux à redoubler d'ingeniosités. L'habillage de l'alternateur a été récupéré et l'intérieur entiérement changé. En France on appelle ça "un échange standard" ici c'est "un alternateur neuf". Nous n'avons qu'une confiance modérée en en cette réparation. Heureusement notre loueur Punch Croisière nous en envoie 1 "neuf" par fedex avant que l'on quitte le pays. Ouf !

    Pour la suite du programme, nous accueillons la maman de Patricia pour une semaine et remontons  tranquillement sur Punta Cana. Nous irons avec elle dans la baie de Samana où nous espérons croiser des baleines. On est pile dans la période.

    Puis Ullie et Damian nous rejoindront fin janvier. Nous quitterons alors la Republique Dominicaine, direction Cuba, ses cigares et sa musique !

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    Après un beau Noël isolé non loin de Casa De Campo, nous avons continué à explorer la République Dominicaine et découvert qu’il devait être difficile de s’installer et de vivre dans cette île pour des français bien cartésiens et habitués aux respects des règles et engagements.  Ainsi, la voiture réservée sur internet chez Europcar s’est avérée ‘introuvable’ lorsque nous nous sommes rendus au comptoir de location ! Pas de voiture de disponible mais un appartement réservé et payé à 400 km de la Marina ! L’aide de nos contacts ici, un peu d’optimiste  et de la débrouillardise nous ont finalement permis de nous rendre à Cabarete (pour les non initiés : The spot de kyte Surf des Caraïbes) et d’avoir une "Jeepeta" pour 1O jours (bon, bien sûr, nous avons du faire notre deuil du siège BB, des rehausseurs enfants, d’un coffre qui ferme et de feux en état de marche..)

    Rep-Dom, on tourne!

    Rep-Dom, on tourne!

    Rep-Dom, on tourne!

     

     

     

     

     

     

    Notre road movie à travers la Rep Dom ne nous a pas vraiment surpris par rapport à nos expériences asiatiques (routes assez correctes malgré tout, mais peu de respect des régles de conduite). Ici la règle d'usage est, priorité aux plus gros et aux plus audacieux. Les motards sans casque transportent souvent femme et enfants. Les paysages sont superbes entre rizières et vaches broutant aux pieds des palmiers. Ce qui nous a vraiment marqué reste la prostitution de jour comme de nuit, tout au long des routes et rues (entre autre à Sosua où nous avions notre logement, les hôtels à Cabarete étant complets). Enfin, nous avons pu constater la présence d’armes à feux un peu partout . 

    La police est aussi présente, mais semble t’il plutôt pour recevoir quelques pesos au passage que pour assurer la sécurité des citoyens. Nous en avons fait les frais à notre arrivée à Sosua, après un voyage de presque 9h. Nous sommes arrivés de nuit, perdus dans cette ville, téléphonant au gérant pour le faire patienter et ayant demandé à des policiers notre chemin. Ceux-ci nous indiquent "recto!", nous nous engagons donc sans méfiance dans une rue lorsque qu’un policier nous arrête manu militari, nous demandant de nous garer et nous indiquant dans un anglais approximatif "mon ami, tu vas avoir un gros problème …" Nous étions dans une ‘Una Via’ et avec un seul phare… Aie, aie, la situation devenait compliquée ! Finalement un videur de boite de nuit à coté est venu à notre secours et en définitive, le policier nous a escorté jusqu’à la résidence … On lui alors donné 500 pesos (10 euros) une fortune pour quelqu’un dont le salaire est de 6000 pesos.

     

    Rep-Dom, on tourne!


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  • Finalement, les autorités de Punta Salinas nous ont déclaré ne pas être compétentes pour faire notre entrée dans ce pays ! Nous sommes donc repartis 100 NM plus à l'ouest vers la Marina de la Casa del Campo, où se trouve notre contact (répération prévue de l'alternateur) et où nous sommes sûrs de pouvoir faire nos formalités.

    Nous arrivons donc vendredi 21 décembre au matin et dans l'heure suivante, 5 personnes débarquent à bord: douane, immigration, marine de guerre, drogue et même le service d'agriculture le tout pour 167$ us. Les formalités se passent en toute convivialité, le tout arrosé d'un coca bien frais. A midi, nous sommes enfin autorisés à mettre pied à terre, après une semaine sans avoir foullé la terre ferme !

    Première semaine en Republique Dominicaine

    La prison dorée où nous nous trouvons: complexe de luxe pour milliardaire (hélicoptères cotoyant les yatchs, 1600 villas reparties autour de 3 golfs, terrain de polo, plages privées, ..) ne nous coute que 40$ par nuit au ponton et nous pouvons bénéficier de toutes les prestations et infrastuctures. Nous décidons alors d'y rester une quinzaine de jours, histoire d'en profiter un peu et surtout de laisser le catamaran en toute sécurité. En effet, nous louons une voiture une semaine pour aller découvrir l'autre côté du miroir : la vraie République Dominicaine. Le bateau restera donc ici à nous attendre tranquillement.

    Dès le premier soir, JL et les enfants, déguisés en pirates, ont participé à un 'défilé' concours du plus beau bateau, sur une réplique de la caravelle de Cristophe Colomb. Nous avons rencontré une famille charmante vivant ici et nous ayant fait le 'tour du propriètaire' du campo

    Nous avons passé Noël tous les 5, non pas à la Marina, mais au bord d'une réserve naturelle. Les tongs avaient été placés tout autour de notre sapin miniature mais Le Père Noël avait caché les cadeaux dans la voile ...Quel Malicieux !

    Première semaine en Republique Dominicaine

    Première semaine en Republique Dominicaine

    Première semaine en Republique Dominicaine 

    Première semaine en Republique Dominicaine

     

    Nous profitons de cet article, pour souhaiter à tous nos lecteurs assidus d'exellentes fêtes de fin d'années


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  • Départ dimanche 16 décembre à 10h pour 410 miles en direction de la République Dominicaine.

    Transcaraïbe sud-nord

     Transcaraïbe sud-nordTranscaraïbe sud-nord

     

    Debrief de notre traversée :

    -visite de 3 poissons volants (dont un, mystérieusement retrouvé sur le sol de notre cabine, et qui a du sauté par le hublot légèrement entre-ouvert, et un autre, qui a ‘frappé’ Patricia pendant la nuit, en plein vol)

    -2 kg de riz cantonnais, 40 crêpes, un gros gâteau au yaourt et des sandwichs avec le merveilleux jambon du Morvan pour nos repas pris selon nos faims respectives le tout préparé par nos soins à Bonnaire.

    - une moyenne de 8 nœuds, alors que nous avions prévu une moyenne de 6 à 7 nœuds.

    - un beau thazard péché pour notre repas d’arrivée 

    -un début difficile (Lucien, Castille et Patricia étant malade pendant environ 10h)

    -5 cargos croisés dont 3 la première nuit (4 « cédez le passage » et « 1 refus de priorité »)

    - une escadrille d’orque au départ de Bonnaire, nous souhaitant une ‘bonne navigation »

    -et hébergement pour une nuit, à 200 milles de toute côte d’un petit oiseau, littéralement ‘à bout de force’ et qui restera toute la nuit au chaud, dans le gilet de sauvetage (comme par hazrd), prénommé Domino par les enfants. A la grande tristesse générale aprés une nuit de repos, il nous a abandonné au moment même où nous croisions un cargo. 

    Nous voilà à Punta Salinas, avec 12 heures d’avance sur notre programme. Couchés à 20h, après avoir dégusté le Thazard, accompagné de notre première bouteille de champagne depuis 3 mois et extrêmement appréciée. Nous sommes vraiment satisfaits de notre traversée!

    Nous nous attendons à voir débarquer à bord l’ensemble des officiels pour les formalités d’entrée (impossible de mettre pied à terre avant)

    Transcaraïbe sud-nordTranscaraïbe sud-nord

    Transcaraïbe sud-nordTranscaraïbe sud-nordTranscaraïbe sud-nord

     Transcaraïbe sud-nordTranscaraïbe sud-nordTranscaraïbe sud-nord

     


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  • Nous sommes partis des Aves vendredi 7 décembre à 4h du matin. Les 10 heures de navigation ont été difficiles surtout pour la co-pilote, première fois malade depuis le début de notre aventure: Houle croisée de 2 mètres en vent arriérre. Jean-Louis a barré seul et les enfants se sont du coup occupés de Castille. L’arrivée à Bonnaire a donc été bien méritée. 

    Nous sommes sur bouée (ici, toute ancre est interdite afin de préserver la richesse des fonds sous-marins qui font de Bonnaire une destination de choix pour tous les plongeurs). Nous retrouvons la ‘civilisation’ : bruits et pollution des véhicules, caddys dans les supermarchés, wifi gratuit dans les bars, laverie automatique, sans oublier la joie de croquer dans un bon morceau de steak et de poulet roti  ...Nos pieds sont tout étonnés de retrouver leurs tongs après plus de 3 semaines pratiquement sans chaussure. 

    Nous préparons notre départ entre le 15 et le 17 décembre pour la République Dominicaine, en surveillant attentivement la météo. Nous aurons 3 jours et 3 nuits de navigation en continu et nous souhaitons les effectuer en toute sécurité. Nous nous activons donc entre courses, laundry, petit entretien du bateau, nettoyage, pina-coladas dans les bars (uniquement pour bénéficier du wifi !). 

    Arrivée houleuse à Bonnaire

    Les enfants ont installé les décorations de Noël, non pas avec des guirlandes de coquillage et des étoiles de mer, mais tout simplement avec ce que l'on a amené de France et discrètement dissimulé dans les rangements afin de garder un effet surprise…Castille a donc découvert la joie des boules multicolores qu’elle essaye de lancer dans la mer afin de vérifier qu’elles flottent !

    Après toutes ces corvées, nous nous octroyons une journée de relâche. Nous plongeons avec Marc et Gaëlle, qui naviguent sur Coco d’Iles un lagoon 450 super équipé avec leurs 2 loulous de 3 et 9 ans (Loann et Tom) depuis  1 an et encore pour 1 an, peut'etre 2 ?!!!. Lucien et Eve gardent Castille pendant sa sieste et nous allons découvrir une superbe épave à 28 m de profondeur. Le bateau chargé de drogue a été remorqué par la douane jusqu'à la côte, et a mysterieusement coulé une nuit de 1986. Il est vrai que Bonnaire figure parmi les meilleurs spots de plongée au monde et aucune épave n'était au catalogue. Désormais cette épave est recouverte de superbes coraux et gardés par 3 Tarpons menaçants.  

    La météo, surveillée par Jean-Louis depuis notre arrivée à Bonnaire nous offre une fenêtre idéale pour notre transcaraïbe sud-nord.

    Nous levons l'ancre dimanche 16 décembre au matin pour 410 milles Cap au 340°

    Arrivée houleuse à BonnaireArrivée houleuse à Bonnaire

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  • On Les Aves

    Les Aves Les Aves

     

     

     

     

     

     

    A Cayo de Agua, nous avons retrouvé un  autre bateau skippé par un couple d’argentins, déjà rencontré aux Roques : Mistral. Nous décidons de partir ensemble pour les Aves, petites séries d’ilots encore plus désertiques que Blanquilla et les Roques. C’est un paradis pour les oiseaux (Aves en espagnol est le nom générique pour désigner des volatiles). Notre exploration dans la mangrove avec l’annexe nous permet d’observer de nombreuses femelles en train de nicher et couver leurs œufs. Nous n’avions jamais eu l’occasion de contempler des oiseaux d’aussi prêts. Notre seul regret : ne pas connaitre leur nom. Nous ne reconnaissons que des hérons et des pélicans. Les autres sont inconnus pour nous et pourtant magnifiques avec leur bec  bleu et le corps gris et verts. 

    Nous terminons notre exploration par une découverte impressionnante mais morbide. Notre regard avait été attiré par une sorte d’épave rougeâtre sur les récifs et en nous rapprochant , nous avons découvert finalement une baleine échouée, à moitié dévorée, et entrain de se décomposer.  Nous imaginons qu’elle a du se faire pièger dans le lagon, dans l’incapacité de ressortir et que des requins sont peut être venus ensuite la dévorée…

    Les Aves

     

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  • Les Roques suite et fin

    Après être revenus le temps d’un passage internet à Gran Roque, nous sommes repartis explorer de nouvelles iles plus à l’ouest des Roques. Toutes sont inhabitées, à part Mosquises, où se sont installés un centre de recherche sur les tortues ….et une colonie de moustiques !  C’est bien la première fois que nous nous réfugions à 18h dans le carré, toutes portes et hublots verrouillés, habillés de la tête au pieed : plutôt suffoquer que se gratter ! 

    Les Roques suite et fin

    Les Roques suite et fin

     

    Mais sans conteste, notre coup de cœur entre tous les mouillages reste pour un ensemble de 4 ilots : Cayo de Agua. Que se soit à l’intérieur de l’immense lagon turquoise ou du côté océan, nous avons été séduits. Dès le Cned terminé, nos 3 journées ont été ‘nautiques’ :  snorkling (même Castille participe, armée de ses brassards, poussée par maman), kayac, surf sur les vagues, observations des tortues, pêche…Bref, un endroit idyllique, où nous étions seuls (et sans la compagnie des moustiques).

     


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  • Los Roques Los Roques

     

     

     

     

     

    Nous sommes aux Roques depuis mardi 20 novembre et nous avons trouvé un café internet d'où nous publions ces 3 articles. La prochaine connexion sera dans 2 semaines, à Bonnaire. Les Roques, ce sont des dizaines d'iles sur un large plan d'eau calme, au Nord de Caracas. C'est un paradis pour la voile, la plongée, le snorkling, le Kyte surf…Notre séjour a débuté à Gran Roque afin d'effectuer notre permis transitoire pour rester 15 jours. La Guardia est montée à bord de l'Ann'Julie en la personne de Ronaldo, qui après 1 heure de négociation autour d'un coca nous a royalement accordé le droit de rester 15 jours (normalement, il aurait fallu passer par Margarita ou le continent afin d'effectuer les démarches ) pour avoir ce droit d'accès. Castille nous a bien aidé (il va être papa d'une petite fille dans 3 mois et est tombé sous le charme de notre petit pain d'épices). El Gran Roque nous a surpris pas ses rues en sable, ses magnifiques posadas, la gentillesse de tous et la diversité des cultures : italiens, venezueliens, brésiliens, et même quelques français ! Après une petite rando qui nous permis d'avoir un magnifique point de vue, nous avons été en ""ville échanger de l'argent (ça ne s'invente pas : le meilleur cours était dans une pharmacie ..) et nous nous sommes mis en quête d'une denrée finalement introuvable : des oeufs …La prochaine livraison ne sera que dans quelque jours, tans pis, on reviendra ! Les quelques jours suivants, nous avons été sur 3 iles différentes dont Crasqui, afin de nous mettre à l'abri d'une onde tropicale annoncée pour dimanche 25 novembre. Cned, baignades, langouste grillée (ras le bol du poisson que nous avons mangé midi et soir depuis 1 semaine et cuisiné en makis, terrine, accras, papillotes, filets, tempura..). On est heureux de se poser quelques jours au même endroit et la plage où nous sommes nous a permis de discuter avec des Venezueliens, brésiliens et même une française .Nous pensons rester encore une semaine sur d'autres iles, puis nous partirons sur les Aves puis les ABC, à l'ouest toute !

    Los Roques

    Los Roques

     

     

     

     

     

     

     

     

     

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